Elnaz Javani est une artiste et éducatrice qui utilise le textile, la sculpture et le dessin. Son travail explore la mémoire personnelle et culturelle, souvent en lien avec son expérience de la migration et de l'identité. Elle intègre des techniques textiles traditionnelles pour raconter des histoires. Elle a exposé son travail à l'échelle nationale et internationale, abordant les thèmes du déplacement, du corps et de l'intersection des histoires personnelles et collectives à travers l'art des fibres. Elnaz Javani est titulaire d'un MFA en études des fibres et matériaux de la School of the Art Institute of Chicago et d'un BFA de l'UniversitéElnaz Javani est une artiste et éducatrice qui utilise le textile, la sculpture et le dessin. Son travail explore la mémoire personnelle et culturelle, souvent en lien avec son expérience de la migration et de l'identité. Elle intègre des techniques textiles traditionnelles pour raconter des histoires. Elle a exposé son travail à l'échelle nationale et internationale, abordant les thèmes du déplacement, du corps et de l'intersection des histoires personnelles et collectives à travers l'art des fibres. Elnaz Javani est titulaire d'un MFA en études des fibres et matériaux de la School of the Art Institute of Chicago et d'un BFA de l'Université des arts de Téhéran. Elle a reçu de nombreux prix et bourses, notamment le prix New Voices 2024 du Print Center New York, une subvention CSU Professional Development 2024, et le titre de l'une des "Breakout Artists of 2022" de Chicago. des arts de Téhéran. Elle a reçu de nombreux prix et bourses, notamment le prix New Voices 2024 du Print Center New York, une subvention CSU Professional Development 2024, et le titre de l'une des "Breakout Artists of 2022" de Chicago.​

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ELnaz travaille à la croisée du textile, du dessin et de l’estampe, en explorant comment la fabrication d’images, dans un cadre artisanal fondé sur la fibre, peut cultiver un sentiment d’ancrage et d’appartenance par le récit. Sa pratique tisse archives personnelles, fictions et expériences vécues, souvent situées à l’intersection du genre, des migrations, de l’identité et de la culture.

Par la manipulation des matières, elle construit des surfaces stratifiées et fragmentées qui s’appuient sur des processus exigeants et impliquant le corps, ancrés dans les sphères culturelles et domestiques — tels que la broderie, le collage, la teinture et diverses techniques du textile et de la fibre. Ces méthodes tactiles portent une résonance émotionnelle et des histoires inscrites. Elle explore les possibilités du travail manuel comme outil à la fois matériel et conceptuel. La nature répétitive et méditative de ces pratiques lui permet d’envisager comment l’attention, le travail et le pouvoir peuvent être réorientés en actes de dévotion et de soin. Les objets et dialogues visuels qui en résultent forment des espaces intimes de refuge, de résistance et de lien.